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Acheter une voiture d’occasion : la méthode simple pour éviter les mauvaises surprises

Acheter une auto d’occasion, ce n’est pas seulement “elle est jolie et elle roule”. L’idée, c’est de repérer les signaux qui racontent la vraie vie de la voiture : entretien sérieux ou négligence, petits chocs cachés, usure anormale, coûts imminents (pneus, freins, embrayage, clim, etc.). Voici une méthode claire, inspirée des points évoqués dans la vidéo (inspection extérieur/intérieur/entretien/essai), et complétée par les bonnes pratiques qu’utilisent les pros.

Acheter une auto d’occasion, ce n’est pas seulement “elle est jolie et elle roule”. L’idée, c’est de repérer les signaux qui racontent la vraie vie de la voiture : entretien sérieux ou négligence, petits chocs cachés, usure anormale, coûts imminents (pneus, freins, embrayage, clim, etc.). Voici une méthode claire (inspection extérieur/intérieur/entretien/essai) complétée par des bonnes pratiques qu’utilisent les pros.

Avant même de vous déplacer : imposez de bonnes conditions

La première erreur est d’aller voir une voiture “n’importe quand”. Une inspection efficace se fait de jour, par temps sec, idéalement quand la carrosserie est propre et visible. La nuit, sous la pluie, ou sur un parking sombre, on rate la moitié des défauts.

Avant de partir, demandez au vendeur :

  • si l’auto a eu des réparations de carrosserie (et lesquelles),

  • si elle tracte (présence d’attelage = embrayage/boîte potentiellement plus sollicités),

  • la liste des entretiens récents avec factures,

  • si le contrôle technique est récent (et s’il y a des remarques).

Ce premier échange sert à voir si le vendeur est cohérent, transparent, et s’il connaît son véhicule.

Le tour extérieur : prenez votre temps (c’est là que tout se voit)

Faites un tour complet, lentement. Une carrosserie, ce n’est pas “cosmétique” : c’est aussi un indice d’usage et parfois un indice de choc.

Cherchez les défauts évidents : rayures profondes, enfoncements, pare-chocs fissurés, élément mal aligné. Aujourd’hui, beaucoup de pièces sont en plastique ou en aluminium, et certaines réparations coûtent vite cher. Une peinture “trop belle” peut aussi cacher quelque chose : posez la question, sans agressivité, et observez la réponse.

Regardez ensuite les détails qui parlent :

  • les joints (portières, pare-brise, coffre) : s’ils sont déchirés ou écrasés, l’eau peut s’infiltrer, puis créer de l’humidité et des soucis électriques/odeurs,

  • les passages de roues et zones basses : sur des véhicules plus anciens, la rouille aime ces endroits,

  • le dessous de caisse : baissez-vous, vérifiez s’il y a des traces de frottement, chocs, déformations (trottoirs, bordures, mauvais cric).

Pneus et freins : la “facture imminente” se voit souvent à l’œil

Sur les pneus, vérifiez d’abord une chose simple : sur un même essieu, il vaut mieux avoir deux pneus identiques (même modèle). Ensuite, regardez l’usure. Une usure irrégulière (plus à l’intérieur ou à l’extérieur) peut indiquer une géométrie à refaire… ou des trains roulants fatigués.

Pour les freins, sans démonter, vous pouvez déjà repérer :

  • un disque avec une “marche” très marquée (bordure),

  • des disques rayés, bleuis (surchauffe), ou abîmés,

  • des plaquettes très fines (peu de garniture visible).

Même si la voiture roule bien, pneus et freins peuvent représenter plusieurs centaines d’euros à court terme : c’est un point clé de négociation.

L’intérieur : l’usure doit être logique avec le kilométrage

L’intérieur raconte souvent la vérité. Un siège conducteur détruit, un volant très lisse/brillant, des commandes fatiguées… sur une voiture annoncée “faible kilométrage”, c’est un décalage qui mérite des explications.

Prenez le temps de tout tester. Ce n’est pas “chipoter” : des pannes d’équipements peuvent coûter cher et sont pénibles au quotidien.
Testez vitres, rétroviseurs électriques, essuie-glaces, phares/clignotants, autoradio/Bluetooth, commandes au volant, fermeture centralisée. Si la voiture a un toit ouvrant, faites-le fonctionner : un toit qui coince peut coûter une fortune.

La climatisation : test simple, résultat rapide

Moteur en marche, mettez la clim sur froid maximum et ventilation forte. L’air doit devenir franchement froid rapidement. Si ça reste tiède, ça peut être une recharge… ou un souci plus coûteux (compresseur, fuite). Quand la climatisation s’enclenche, le régime peut varier légèrement puis se stabiliser, sans bruits suspects.

Sous le capot : vous ne “diagnostiquez” pas, vous cherchez des indices

Même sans être mécanicien, vous pouvez repérer des alertes :

  • une baie moteur anormalement grasse (fuites),

  • des traces de brûlure, d’échauffement, d’huile projetée,

  • des éléments de structure tordus ou marqués (traverses/châssis) pouvant évoquer un gros choc.

Regardez aussi les étiquettes d’entretien parfois collées dans la baie moteur (vidange, kilométrage). Si un kilométrage noté semble incohérent avec le compteur, c’est un gros drapeau rouge.

L’essai routier : obligatoire, et pas juste “un tour du pâté de maisons”

On achète une voiture avec un essai. L’idéal est un parcours mixte : ville + route, avec quelques freinages, quelques relances, et des moments où vous roulez droit à vitesse stable.

Avant même de rouler, vérifiez que toutes les vitesses passent proprement. Si ça accroche, si c’est dur à froid, si ça craque, ce n’est pas bon signe.

Embrayage : repérez les symptômes sans brutaliser la mécanique

Une méthode “frein à main + troisième” existe, mais elle est brutale et ne révèle que les cas extrêmes. Préférez l’observation : si le point de patinage est très haut, si la pédale est difficile à doser, si ça sent “l’embrayage” après une manœuvre, ou si les vitesses deviennent rappelées/accrocheuses, l’embrayage peut être fatigué.

Écoutez : un bruit bizarre doit déclencher des questions

Claquements, sifflements, frottements, grincements… ce sont des signaux. Une voiture peut avoir un petit bruit “sans gravité”, mais le vendeur doit savoir l’expliquer, et vous devez sentir qu’il ne minimise pas tout.

Tenue de cap et direction

Sur une route plate, roulez droit et relâchez très légèrement la pression sur le volant (sans lâcher). Si la voiture tire nettement d’un côté, cela peut indiquer un souci de géométrie, un pneu, voire un élément de train roulant.

Regardez dans les rétros : la fumée n’est jamais anodine

Fumée bleue, noire ou blanche persistante : ce sont des cas à prendre très au sérieux. Une petite condensation à froid peut exister, mais une fumée continue, surtout à chaud ou en accélération, doit vous faire reculer.

Freinage : test clair

À environ 50 km/h (dans un endroit sécurisé), freinez franchement. La voiture ne doit pas tirer d’un côté, ni vibrer dans le volant, ni trembler fortement. Si ça vibre, ça peut être des disques voilés, des pneus, ou autre chose : dans tous les cas, c’est à investiguer.

Boîte automatique : ce qu’il faut sentir

En décélérant jusqu’à l’arrêt, les rétrogradages doivent être doux, sans à-coups violents. En accélérant, les passages doivent être réguliers, sans hésitation, sans vibrations anormales. Si la boîte “patine bizarrement”, hésite, ou donne des coups, prudence.

Astuce utile : demandez au vendeur de conduire quelques minutes. Sa façon de conduire donne souvent une idée de la vie de la voiture (conduite douce ou brutale).

Les documents : c’est ce qui transforme un “bon feeling” en achat solide

Une voiture d’occasion sérieuse se vend avec des preuves, pas avec des promesses.

Vérifiez :

  • le carnet d’entretien et surtout les factures (vidanges, freins, pneus, distribution selon moteur, bougies, etc.),

  • la cohérence des dates et kilométrages,

  • un contrôle technique valable et récent (en pratique, il doit être récent pour la vente).

Sans historique, vous achetez “à l’aveugle”. Avec factures, vous achetez une trajectoire.

Les drapeaux rouges qui doivent vous faire ralentir

Une voiture très sale dehors et dedans, avec un vendeur qui jure que “mécaniquement c’est nickel”, c’est souvent incohérent. Une peinture trop fraîche sans explication claire, des défauts minimisés, un vendeur pressé, un essai routier refusé, ou des documents incomplets : tout ça n’oblige pas à fuir à chaque fois, mais ça impose de doubler la prudence… et parfois de passer votre tour.

Votre meilleur outil, c’est une méthode

Le piège, c’est d’acheter à l’émotion. La solution, c’est de suivre un ordre : conditions de visite, tour extérieur, pneus/freins, intérieur et équipements, compartiment moteur, essai routier, documents. Si quelque chose cloche, vous ne vous forcez pas : vous posez des questions, vous notez, et vous comparez avec d’autres voitures.

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Renault Twingo d’occasion : quelle génération choisir et à quel prix ?

La Renault Twingo reste une valeur sûre sur le marché de l’occasion : facile à vivre en ville, simple à entretenir (selon versions) et souvent moins “stressante” à acheter qu’une compacte plus complexe. Dans cet article, je parle principalement de la Twingo III (3e génération, 2014–2024) à partir d’un retour d’expérience très concret, puis je complète avec deux sections dédiées à la Twingo I (1re génération, 1992–2007) et la Twingo II (2e génération, 2007–2014), en donnant des repères de valeurs sur le marché de l’occasion.

La Renault Twingo reste une valeur sûre sur le marché de l’occasion : facile à vivre en ville, simple à entretenir (selon versions) et souvent moins “stressante” à acheter qu’une compacte plus complexe. Dans cet article, on traite principalement de la Twingo III (3e génération, 2014–2024) à partir d’un retour d’expérience très concret, puis on complètera avec deux sections dédiées à la Twingo I (1re génération, 1992–2007) et la Twingo II (2e génération, 2007–2014), en donnant des repères de valeurs sur le marché de l’occasion.

Twingo III (2014–2024) d’occasion : le bilan réel au quotidien

La Twingo III est typiquement achetée comme citadine “outil”, surtout pour l’Île-de-France et les centres urbains : compacte, pratique, et surtout très maniable. À l’usage, elle peut être excellente… à condition de savoir ce qu’on achète, car ses qualités et ses défauts sont très marqués.

Le point qui met tout le monde d’accord, c’est la maniabilité. Son rayon de braquage est l’un de ses gros atouts : en manœuvre, dans les ruelles, sur les parkings, elle donne l’impression de tourner “sur place”. Pour une voiture de ville, c’est un avantage énorme au quotidien.

En revanche, dès qu’on sort de l’urbain, la Twingo III montre ses limites. Sur route rapide, plusieurs conducteurs remontent une sensation de bruit d’air et parfois un sifflement perceptible à 90–110 km/h. À 130 km/h, l’expérience peut devenir franchement fatigante : bruit, manque d’insonorisation, et parfois une voiture qui “se fait chahuter” quand il y a du vent ou des rafales. Ce n’est pas une surprise : ce n’est pas son cahier des charges.

Le confort, lui aussi, est très dépendant du contexte. En ville “lisse”, c’est correct. Mais sur les ralentisseurs et les dos-d’âne (très présents en France), la suspension est souvent jugée ferme, et on peut se sentir secoué. Sur long trajet, la position de conduite peut aussi déplaire : certains regrettent l’absence d’un vrai appui pour la jambe et décrivent des sièges assez durs, donnant une sensation de “chaise”.

L’autre aspect très concret, ce sont les petits “signaux” de voiture légère : des bruits de plastiques dans l’habitacle, parfois plus audibles avec de la musique, et des vibrations ou grésillements localisés (par exemple dans une portière). Ce ne sont pas forcément des pannes, mais ça joue sur l’impression de qualité.

Les points à vérifier avant d’acheter une Twingo III

Il y a un détail qui revient souvent et qui mérite un contrôle visuel immédiat : la condensation dans un phare. Quand un bloc optique prend la buée, le problème peut venir d’un joint ou d’une étanchéité fatiguée. Ce n’est pas toujours catastrophique, mais ça peut obliger à remplacer le phare, donc à prévoir un budget.

Autre particularité pratique : sur certaines Twingo III, l’accès au moteur et aux contrôles de base peut être plus contraignant que sur une voiture “classique”. Par exemple, pour vérifier le niveau d’huile, on peut devoir ouvrir une trappe et enlever plusieurs fixations, ce qui décourage certains de contrôler aussi souvent qu’ils le devraient. Ce point n’est pas un défaut mécanique, mais un défaut d’ergonomie : à connaître avant d’acheter.

Enfin, un essai routier doit impérativement inclure un passage vers 90–110 km/h, sans musique, afin d’identifier sifflement, bruits d’air, vibrations, et de juger la réserve de puissance selon votre usage.

Consommation : une réalité autour de 5 L/100

Sur un usage urbain/péri-urbain calme, certains propriétaires constatent difficilement moins de 5,0 L/100, avec plutôt 5,2 à 5,5 L/100 en mix selon trajets. L’autonomie évoquée tourne autour de 500 km par plein dans un scénario similaire. Ce n’est pas “mauvais”, mais ce n’est pas non plus la citadine miracle à 3,5 L/100 dans la vraie vie.

Valeur de la Twingo III sur le marché de l’occasion

En France, la Twingo III se situe dans une fourchette large parce que tout change la valeur : année, kilométrage, motorisation, boîte, finition, historique, et état cosmétique.

Pour un repère simple, on observe généralement une plage d’environ 5 600 à 15 000 €, avec beaucoup d’offres “cohérentes” entre 6 000 et 12 000 € selon le profil (plus ancien et kilométré en bas, plus récent/équipé en haut). Un budget autour de 7 000–9 500 € correspond souvent au “cœur de marché” d’une Twingo III essence en bon état, sans être récente.

Twingo I (1992–2007) : la plus attachante, souvent la plus simple… et pas toujours donnée

La première génération a un statut à part. Elle est devenue une petite icône, et ça se ressent sur le marché : une Twingo I propre, saine, avec un contrôle technique clair et un historique crédible se vend rarement pour “rien”.

Sur l’occasion, on voit fréquemment des valeurs allant d’environ 800 à 3 900 €, selon l’état, le kilométrage, la corrosion, l’entretien et la présentation. Les exemplaires très propres ou certaines séries recherchées se placent naturellement dans le haut de la fourchette.

La règle d’or ici, ce n’est pas de chasser la meilleure affaire au prix le plus bas : c’est plutôt de payer le bon prix pour une voiture saine. Sur ce type d’auto, une “bonne base” coûte souvent moins cher à long terme qu’une voiture achetée trop bas puis rattrapée en réparations.

Twingo II (2007–2014) : le compromis rationnel du marché

La deuxième génération est souvent le meilleur équilibre entre modernité, simplicité et prix. Elle est moins “culte” que la Twingo I, donc parfois plus accessible, tout en étant plus actuelle dans la conduite et l’équipement.

Sur le marché, on observe fréquemment une plage d’environ 1 400 à 7 500 € selon versions et états, avec beaucoup d’offres crédibles autour de 3 000–5 000 €. C’est souvent la génération la plus “logique” si vous voulez une Twingo d’occasion sans viser le tout dernier modèle, tout en évitant une voiture trop âgée.

En résumé : quelle Twingo d’occasion choisir ?

Si votre priorité absolue, c’est la ville, les manœuvres et le stationnement, la Twingo III est redoutable sur son terrain, mais il faut accepter une auto plus bruyante et moins à l’aise sur voie rapide. Si vous cherchez une petite voiture simple et attachante, la Twingo I peut être un excellent choix, à condition d’acheter un exemplaire sain. Et si vous voulez le compromis le plus rationnel en occasion, la Twingo II reste souvent celle qui coche le plus de cases au bon prix.

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Pourquoi choisir une DS7 Crossback d'occasion pour votre prochain achat automobile ?

Vous envisagez de changer de véhicule et vous êtes à la recherche d'un SUV premium alliant élégance, confort et technologies modernes sans exploser votre budget ? La DS7 Crossback d'occasion représente une option particulièrement intéressante pour les automobilistes exigeants qui souhaitent accéder au luxe à la française tout en maîtrisant leur investissement. Ce modèle, qui a marqué le renouveau de la marque DS depuis sa présentation en mars 2017 et sa commercialisation en octobre 2017, continue de séduire sur le marché de l'occasion grâce à son positionnement unique et ses nombreuses qualités.

Vous envisagez de changer de véhicule et vous êtes à la recherche d'un SUV premium alliant élégance, confort et technologies modernes sans exploser votre budget ? La DS7 Crossback d'occasion représente une option particulièrement intéressante pour les automobilistes exigeants qui souhaitent accéder au luxe à la française tout en maîtrisant leur investissement. Ce modèle, qui a marqué le renouveau de la marque DS depuis sa présentation en mars 2017 et sa commercialisation en octobre 2017, continue de séduire sur le marché de l'occasion grâce à son positionnement unique et ses nombreuses qualités.

Les atouts économiques et la fiabilité de la DS7 Crossback d'occasion

Lorsque l'on s'intéresse à l'achat d'un véhicule de seconde main, la question du rapport qualité-prix et de la durabilité du modèle se pose naturellement. La DS7 Crossback présente sur ce plan des caractéristiques qui méritent une attention particulière, notamment en raison de son positionnement premium et de sa décote mesurée par rapport aux véhicules neufs. Ce SUV partage sa plateforme et des éléments techniques avec d'autres modèles du groupe PSA, ce qui constitue un atout en termes de pérennité des pièces et de facilité d'entretien.

Un rapport qualité-prix imbattable sur le marché de l'occasion

Le marché de l'occasion compte actuellement une quarantaine de DS7 Crossback disponibles, offrant ainsi un choix suffisamment large pour trouver le modèle correspondant à vos attentes. Les prix d'accès démarrent autour de seize mille euros pour les exemplaires de 2018 affichant environ cent trente mille kilomètres au compteur. Pour ceux qui recherchent un modèle plus récent avec moins de kilométrage, les versions essence et diesel se négocient généralement entre vingt-cinq mille et trente-deux mille euros. Les versions hybrides rechargeables E-Tense, lancées en mars 2019, sont proposées entre trente-cinq mille et quarante-cinq mille euros, avec des exemplaires de 2020 disponibles autour de vingt-six mille euros pour environ cent cinquante mille kilomètres. Cette gamme tarifaire permet d'accéder à un véhicule qui côtoyait les cinquante-deux mille euros à l'état neuf en finition haut de gamme. L'ensemble des véhicules d'occasion bénéficie d'une garantie minimale de six mois incluse dans le prix d'achat, offrant ainsi une sécurité appréciable pour l'acquéreur.

Une décote avantageuse qui préserve votre investissement

La décote du DS7 Crossback présente un profil intéressant pour les acheteurs avisés. Contrairement aux véhicules de luxe allemands qui peuvent perdre une part importante de leur valeur dès les premières années, le modèle français conserve une valorisation correcte, en partie grâce à son positionnement distinctif sur le marché. Les garanties constructeur étendues représentent un autre atout majeur pour sécuriser votre achat. Le programme SPOTICAR propose plusieurs formules adaptées à l'ancienneté du véhicule : la garantie Premium de vingt-quatre mois s'applique aux modèles de moins de deux ans ou soixante mille kilomètres, tandis que la Premium de douze mois concerne les véhicules de moins de sept ans ou cent cinquante mille kilomètres. Pour les modèles plus anciens, les garanties Advanced et Essential couvrent respectivement les véhicules de trois à dix ans et de trois à quinze ans, avec une limite de deux cent mille kilomètres. Le programme DS CERTIFIED offre quant à lui une couverture de douze ou vingt-quatre mois sans franchise ni limitation kilométrique, ce qui constitue une protection particulièrement rassurante. Certains distributeurs proposent même une possibilité de reprise et de remboursement si vous parcourez moins de mille kilomètres dans les sept jours suivant la livraison, témoignant ainsi de la confiance accordée à ce modèle.

Le luxe et les équipements haut de gamme accessibles en seconde main

Au-delà des considérations financières, l'acquisition d'une DS7 Crossback d'occasion permet d'accéder à un niveau de raffinement et d'équipements qui placent ce véhicule dans une catégorie à part. Les propriétaires apprécient particulièrement la qualité perçue de l'habitacle et le niveau de confort offert, éléments qui ne se dégradent que peu avec le temps lorsque le véhicule a été correctement entretenu.

Des finitions raffinées et un confort de conduite remarquable

L'intérieur du DS7 Crossback se distingue par des matériaux soignés qui confèrent une atmosphère premium à l'habitacle. Les premières finitions proposées incluaient les versions Chic, So Chic, Grand Chic, Business et Executive, offrant différents niveaux d'équipement et de personnalisation. Depuis le restylage de septembre 2022, qui a vu le modèle simplement rebaptisé DS 7, la gamme s'est enrichie avec les finitions Bastille, Performance Line, Performance Line+, Rivoli, Esprit de Voyage, Opéra, Louvre et La Première. Ces appellations évoquant Paris renforcent l'identité française du modèle et correspondent à des niveaux d'équipement progressifs. L'habitabilité constitue un point fort indéniable avec un bon espace pour les passagers arrière, un dossier inclinable et l'absence de tunnel central qui améliore le confort du passager central. Le coffre offre une modularité appréciable avec un volume oscillant entre cinq cent cinquante-cinq et mille sept cent cinquante litres selon la configuration des sièges. Le confort routier se révèle particulièrement soigné, notamment sur les versions équipées de l'amortissement piloté Scan Suspension qui adapte en permanence la fermeté des suspensions aux irrégularités de la chaussée. Cette technologie transforme véritablement l'expérience de conduite en absorbant efficacement les défauts de la route tout en maintenant un bon maintien de caisse dans les virages.

Des technologies embarquées modernes à moindre coût

La DS7 Crossback embarque un ensemble de technologies qui étaient réservées aux véhicules haut de gamme lors de son lancement. Le système multimédia, bien que critiqué sur les premières versions pour son ergonomie perfectible, a été amélioré sur les modèles restylés. Les équipements de sécurité et d'aide à la conduite sont généreux selon les finitions, incluant des dispositifs désormais recherchés par les acheteurs de véhicules d'occasion. La palette de motorisations disponibles permet de choisir selon vos priorités : les blocs essence PureTech de cent trente, cent quatre-vingts et deux cent vingt-cinq chevaux offrent des performances honorables avec une consommation moyenne inférieure à huit litres aux cent kilomètres pour les versions cent quatre-vingts et deux cent vingt-cinq chevaux. Les moteurs diesel BlueHDi de cent trente et cent quatre-vingts chevaux séduisent les gros rouleurs avec des consommations raisonnables oscillant entre six litres pour le 1.5 BlueHDi et sept litres pour le 2.0 BlueHDi 180. Pour ceux qui recherchent une approche plus écologique sans renoncer aux performances, les versions hybrides rechargeables E-Tense de deux cent vingt-cinq et trois cents chevaux représentent un compromis intéressant. Avec une autonomie en mode électrique de cinquante-huit kilomètres et une consommation mixte moyenne de 1,4 litre aux cent kilomètres selon le cycle normalisé, ou environ 6,5 litres en usage réel avec la batterie régulièrement chargée, ces versions permettent de réaliser des trajets quotidiens en mode zéro émission. La puissance de recharge maximale de 7,4 kilowatts facilite la recharge nocturne sur une borne domestique. Les meilleurs choix sur le marché de l'occasion se portent généralement vers le 2.0 BlueHDi 180 Performance Line + en boîte automatique commercialisé à partir de 2018 pour les amateurs de diesel, ou vers le 1.6 E-Tense 225 en finition Rivoli lancé en 2021 pour les adeptes de la mobilité hybride. L'entretien de ces motorisations suit une périodicité annuelle ou tous les trente mille kilomètres, avec un remplacement de la courroie de distribution à cent quatre-vingt mille kilomètres ou dix ans pour les diesels, et cent mille kilomètres ou six ans pour le PureTech 130. Avant tout achat, il convient néanmoins de vérifier plusieurs points essentiels : l'inspection visuelle et mécanique complète incluant carrosserie, habitacle et compartiment moteur, la vérification des documents administratifs comme la carte grise et le contrôle technique, ainsi que l'historique d'entretien complet du véhicule. Une attention particulière doit être portée au système AdBlue sur les diesels, aux éventuels problèmes électroniques, à l'usure des pneus et de la crémaillère de direction, ainsi qu'aux possibles infiltrations d'eau. Il est également crucial de s'assurer que les nombreux rappels constructeur ont été effectués, notamment ceux concernant l'airbag, la batterie des versions hybrides, les émissions d'oxydes d'azote et les risques d'incendie. Un diagnostic par un professionnel avant l'achat reste vivement recommandé pour éviter les mauvaises surprises, d'autant que certaines pannes lourdes comme les problèmes de chaîne de distribution sur le 1.5 BlueHDi, de réservoir d'AdBlue ou du système hybride peuvent s'avérer coûteuses. Malgré ces points de vigilance inhérents à tout véhicule d'occasion, la DS7 Crossback demeure une proposition séduisante pour qui recherche un SUV premium français capable d'offrir confort, prestations et modernité à un tarif bien inférieur à celui du neuf.

Rédigé par l’équipe du Comptoir partenaire.

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Comment estimer la valeur de sa voiture pour la revente (et ne pas laisser d’argent sur la table) ?

Fixer le « bon » prix n’a rien d’un simple coup d’œil aux annonces. C’est un travail d’enquête mêlant données de marché, état réel du véhicule, preuves d’entretien et lecture fine des tendances (motorisations, ZFE, appétence des acheteurs). Objectif : afficher un tarif crédible — et défendable — pour vendre vite sans brader.

Fixer le « bon » prix n’a rien d’un simple coup d’œil aux annonces. C’est un travail d’enquête mêlant données de marché, état réel du véhicule, preuves d’entretien et lecture fine des tendances (motorisations, ZFE, appétence des acheteurs). Objectif : afficher un tarif crédible — et défendable — pour vendre vite sans brader.

Par où commencer : établir une valeur de marché

Le premier réflexe consiste à prendre la température du marché. Comparez des véhicules strictement comparables au vôtre (marque, modèle, motorisation, année de mise en circulation, kilométrage, finition) sur les grandes plateformes d’annonces. Vous obtiendrez une fourchette observable — c’est une photographie des prix affichés, pas nécessairement des prix conclus.

En parallèle, confrontez cette fourchette à une référence de cote. Deux voies existent, complémentaires :

  • un argus gratuit accessible en ligne via des estimateurs qui restituent une valeur indicative à partir de la plaque ou des caractéristiques essentielles ;

  • une cote payante de référence (type L’Argus), utilisée par de nombreux pros, dont la méthodologie intègre plus finement l’âge, le kilométrage « attendu » par type de motorisation, et l’historique de modèles.

Ajoutez enfin une estimation professionnelle via un simulateur de reprise (chez un distributeur/repreneur ou un acteur spécialisé). Ces outils donnent un prix « transactionnel » plus proche d’une offre ferme, sous réserve d’une inspection.

Les critères qui pèsent vraiment sur le prix

La décote est la loi du marché : forte la première année (souvent 15–25 %), puis plus progressive. Mais c’est la conjonction des critères qui fait le prix final.

Âge et kilométrage. Ils vont de pair. Un diesel au-dessus de ~22 000 km/an ou une essence au-delà de ~15 000 km/an sortent du kilométrage « attendu » et perdent en valeur. À l’inverse, un faible kilométrage documenté se paie.

État général. Les acheteurs voient tout : micro-rayures, jantes marquées, pare-brise piqué, pneus inégaux. Le coût de remise en état sera mis en face de votre prix. Un detailing léger (lavage pro, lustrage, habitacle) change la perception — donc la valeur.

Entretien et traçabilité. Carnet tamponné, factures, CT récent, preuves de révisions constructeur : c’est votre assurance crédibilité. Un historique limpide compense souvent quelques milliers de kilomètres de trop.

Équipements et options. Les aides à la conduite, les packs multimédias, la boîte auto, le toit panoramique, la sellerie cuir… tout ce qui améliore l’usage augmente l’attractivité. Attention : certaines cotes « de base » ne valorisent pas toutes les options ; c’est à vous d’en objectiver la valeur (rareté, demande locale, état de fonctionnement).

Motorisation et usage. Les ZFE pénalisent certains diesels anciens ; les hybrides et électriques séduisent des trajets urbains… mais leur valeur perçue dépend de l’autonomie réelle, de la santé de batterie, des garanties. Mentionnez les rapports de diagnostic batterie lorsqu’ils existent : ils rassurent.

Offre et demande. Une citadine polyvalente populaire garde une cote solide ; un modèle rare ou de niche peut partir plus cher… mais parfois plus lentement. Suivez la saisonnalité (SUV avant l’hiver, cabriolets au printemps).

Construire un prix crédible : méthode en trois temps

1) Calibrer une fourchette. Croisez : prix des annonces comparables, argus gratuit (pour un repère rapide), cote de référence payante (pour un ancrage « professionnel »), et un simulateur de reprise (pour un plancher transactionnel). Vous obtenez un corridor de valeurs.

2) Situer votre voiture dans ce corridor. L’historique parfait, quatre pneus récents, freins neufs et CT vierge ? Vous pouvez viser le haut de la fourchette. Une carrosserie à reprendre et des révisions espacées ? Restez dans le bas — ou assumez un prix « net acheteur » en mentionnant les travaux à prévoir.

3) Laisser une marge de négociation… maîtrisée. 2 à 4 % suffisent souvent. Au-delà, vous rallongez les délais sans bénéfice réel. Justifiez le prix avec un dossier vendeur irréprochable : photos nettes, liste d’options détaillée, historique scanné, factures clés en avant (distribution, embrayage, amortisseurs, batterie traction pour VE/hybride).

Le rôle des professionnels : de l’écran au verdict

Les estimateurs en ligne de repreneurs et de distributeurs sont utiles pour capter le prix « cash » qu’un professionnel est prêt à payer, compte tenu des coûts de reconditionnement et de garantie. C’est un bon plan B si vous privilégiez la rapidité et l’absence de démarches. La contrepartie : un prix généralement en-dessous d’une vente à particulier, mais ferme et immédiat après contrôle.

À l’inverse, la vente à particulier maximise le prix… au prix d’un processus plus exigeant (appels, rendez-vous, essai, sécurisation du paiement). Votre estimation solide et votre dossier vendeur feront la différence.

Cas particuliers à bien border

Hybrides et électriques. La santé de batterie (SOH), la présence de la garantie constructeur restante, l’historique des mises à jour et des charges influencent fortement la valeur. Un rapport de diagnostic récent vaut de l’or en négociation.

Entretien « constructeur ». Sur des modèles à forte cote ou sous garantie prolongée, l’entretien réseau majorera la valeur. Hors garantie, un dossier atelier indépendant clair reste un atout s’il est régulier et documenté.

Options rares. Certaines configurations (pack sport, audio premium, sièges ventilés) sont recherchées. Illustrez-les en photos et vérifiez qu’elles apparaissent bien dans l’annonce et la fiche de cote ; sinon, valorisez-les explicitement.

Préparer la vente, c’est déjà monter la valeur

Une heure passée à préparer le véhicule (nettoyage, petites retouches, niveaux, éclairages, pression des pneus) peut faire gagner des centaines d’euros. Ajoutez un contrôle technique récent si nécessaire ; il rassure et fluidifie la transaction. Réunissez carte grise, certificat de non-gage, double de clés, manuel, factures : la confiance accélère la vente et limite la négociation.

Croiser les sources

Estimer sa voiture pour la revente, c’est croiser des sources et objectiver chaque atout comme chaque faiblesse. Appuyez-vous sur les annonces comparables, un argus gratuit pour un premier jalon, une cote de référence pour consolider, et une estimation de reprise pour connaître le plancher. Ajustez ensuite en fonction de l’état réel, de l’historique et des options. Vous obtiendrez un prix juste, défendable, qui attire des acheteurs sérieux — et vous fait gagner du temps comme de l’argent.

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Comment obtenir l’historique d’un véhicule à partir du numéro VIN ?

L’achat d’un véhicule d’occasion est souvent un moment excitant, mais il peut aussi cacher de mauvaises surprises si l’on ne prend pas le temps de vérifier certains éléments. Parmi les vérifications indispensables figure l’historique du véhicule, accessible grâce au numéro VIN (Vehicle Identification Number). Voici pourquoi et comment utiliser ce code pour acheter en toute sécurité.

L’achat d’un véhicule d’occasion est souvent un moment excitant, mais il peut aussi cacher de mauvaises surprises si l’on ne prend pas le temps de vérifier certains éléments. Parmi les vérifications indispensables figure l’historique du véhicule, accessible grâce au numéro VIN (Vehicle Identification Number). Voici pourquoi et comment utiliser ce code pour acheter en toute sécurité.

Le résumé de cet article en questions / réponses :

Question Réponse
Pourquoi consulter l’historique d’un véhicule ? Pour éviter les mauvaises surprises avant un achat, comme un kilométrage falsifié ou un accident non déclaré.
Qu’est-ce que le numéro VIN ? C’est un identifiant unique de 17 caractères attribué à chaque véhicule, présent sur la carte grise et le châssis.
Quelles informations peut-on obtenir grâce au VIN ? Kilométrage, sinistres, caractéristiques techniques, date de mise en circulation, nombre de propriétaires, etc.
Comment obtenir un rapport à partir du VIN ? En utilisant une plateforme spécialisée comme CarVertical ou PortailCarteGrise.fr, qui fournit un rapport détaillé.
Où trouver le numéro VIN ? Sur la carte grise (champ E), le carnet d’entretien, ou gravé sur le châssis du véhicule.
Est-ce que ces services sont payants ? Certains sont gratuits, d’autres (comme CarVertical) proposent des rapports complets payants pour un meilleur niveau de détail.

🚗 Pourquoi vérifier l’historique d’un véhicule est essentiel ?

Le marché de l’occasion est vaste, et si certaines annonces sont parfaitement honnêtes, d’autres peuvent dissimuler des défauts majeurs ou des irrégularités. Grâce au numéro VIN, véritable carte d’identité du véhicule, vous pouvez obtenir des informations clés telles que :

  • Les caractéristiques techniques exactes du véhicule

  • Les accidents éventuels subis par le véhicule

  • Le statut administratif (véhicule gagé, en opposition, volé, etc.)

  • Les relevés de kilométrage enregistrés lors des contrôles techniques

👉 Ces informations permettent de s'assurer que le véhicule est en règle et n’a pas été maquillé pour tromper l’acheteur.

🆔 Qu’est-ce que le numéro VIN et où le trouver ?

Le numéro VIN (aussi appelé numéro de châssis) est un code alphanumérique unique composé de 17 caractères. Il est attribué à chaque véhicule lors de sa fabrication. On peut généralement le retrouver :

  • Sur la carte grise (champ E)

  • Sur le châssis du véhicule (souvent près du moteur ou sous le pare-brise)

  • Dans le carnet d’entretien du véhicule

Ce numéro ne change jamais, même en cas de changement de propriétaire.

🔍 Comment obtenir l’historique à partir du VIN ?

Grâce à des plateformes spécialisées comme carvertical.com ou PortailCarteGrise.fr, vous pouvez entrer le numéro VIN pour obtenir un rapport complet sur l’historique du véhicule. Ce rapport peut contenir :

  • Le nombre de propriétaires successifs

  • L’usage du véhicule (particulier, loueur, société)

  • Les réparations significatives

  • Les dates de passage aux contrôles techniques et les éventuelles anomalies détectées

  • Les sinistres déclarés à l’assurance

  • Le statut administratif actuel (gage, opposition, vol)

👉 Ce service vous offre une transparence totale, vous permettant d’éviter les arnaques ou les véhicules à problèmes.

🔍 CarVertical : le spécialiste de l’historique véhicule basé sur le VIN

✅ Avantages :

  • Historique international, basé sur une base de données très large, y compris l’étranger (pratique pour les véhicules importés).

  • Accès aux rapports très complets : sinistres, entretiens, kilométrage, rappels constructeur, statut volé, etc.

  • Utilise la technologie blockchain pour garantir l’authenticité des données.

  • Interface intuitive, avec un rapport très visuel, facile à comprendre pour les particuliers.

  • Disponible en plusieurs langues.

❌ Inconvénients :

  • Service payant (environ 15-20 € par rapport)

  • Ne remplace pas certaines démarches administratives françaises (ex. : déclaration de cession, carte grise, etc.)

🏛️ PortailCarteGrise.fr : la solution administrative française

✅ Avantages :

  • Spécialisé dans les démarches françaises : changement de titulaire, demande de carte grise, déclaration d’achat/vente, etc.

  • Peut proposer l’accès à des données SIV pour un historique simplifié (situation administrative, date d’immatriculation, etc.).

  • Service conforme aux règles françaises.

❌ Inconvénients :

  • Moins détaillé que CarVertical en ce qui concerne les sinistres, le kilométrage réel ou les entretiens.

  • Ne couvre pas l’historique à l’étranger.

Acheter en toute confiance✅

Consulter l’historique d’un véhicule via le numéro VIN, c’est s’assurer de ne pas tomber dans le piège d’un véhicule :

  • trafiqué au niveau du kilométrage,

  • accidenté lourdement sans déclaration,

  • ou encore non autorisé à la vente pour raisons administratives.

Sur PortailCarteGrise.fr, vous pouvez non seulement consulter cet historique, mais aussi gérer toutes vos démarches administratives liées à la carte grise en quelques clics.

📌 En résumé

  • Le numéro VIN est votre meilleur allié pour acheter un véhicule d’occasion sans mauvaise surprise.

  • Il permet d’accéder à un historique complet et officiel du véhicule.

  • Des plateformes comme carvertical.com ou PortailCarteGrise.fr vous donnent un accès simple, rapide et sécurisé à ces informations.

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Les avantages d'acheter votre voiture d'occasion auprès d'un concessionnaire

Le marché de l'occasion est une excellente solution pour acquérir un véhicule à moindre coût tout en bénéficiant d'un large choix de modèles. Vous devez toutefois vous adresser à un professionnel reconnu pour être sûr d'effectuer un achat sécurisé. En passant par un concessionnaire auto, vous accédez à des voitures rigoureusement contrôlées, accompagnées de garanties rassurantes et de services complémentaires. Pourquoi privilégier un tel professionnel pour votre projet ?

Le marché de l'occasion est une excellente solution pour acquérir un véhicule à moindre coût tout en bénéficiant d'un large choix de modèles. Vous devez toutefois vous adresser à un professionnel reconnu pour être sûr d'effectuer un achat sécurisé. En passant par un concessionnaire auto, vous accédez à des voitures rigoureusement contrôlées, accompagnées de garanties rassurantes et de services complémentaires. Pourquoi privilégier un tel professionnel pour votre projet ?

Accédez à une large sélection de voitures d'occasion révisées

Que vous choisissiez d'acheter une citadine, un SUV, une berline ou un utilitaire, chaque véhicule a fait l'objet d'un examen rigoureux pour garantir sa fiabilité et son bon état général. Contrairement aux transactions entre particuliers, où les vérifications sont limitées, les concessionnaires auto d'occasion effectuent un contrôle minutieux avant de vous proposer une voiture. Ils disposent en général d'équipes qualifiées qui inspectent chaque véhicule sous tous ses aspects.

La mécanique, l'électronique, la carrosserie et l'habitacle sont minutieusement examinés pour avoir la certitude qu'ils respectent les standards de qualité exigés. En cas d'usure excessive ou de défaut, des réfections sont effectuées pour le remettre en parfait état de fonctionnement. Cette démarche assure la sécurité des futurs conducteurs et la durabilité de votre achat. En choisissant un concessionnaire, vous avez également la possibilité de comparer plusieurs modèles au sein d'un même établissement.

Vous aurez accès à une large gamme de véhicules d'occasion et profiterez des conseils avisés d'experts afin de choisir la voiture idéale pour vous. Ces professionnels proposent souvent des modèles récents, dotés des dernières technologies et d'équipements modernes. Par ailleurs, vous profiterez d'une transparence totale sur les informations fournies. Un historique détaillé vous est remis, précisant le nombre de propriétaires précédents ou encore les réparations effectuées sur le véhicule.

Bénéficiez de garanties supplémentaires avec un concessionnaire auto

Contrairement aux transactions entre particuliers, où aucun recours n'est possible en cas de problème, les concessionnaires auto sérieux s'engagent à vous offrir des protections. Ils proposent une garantie constructeur ou une garantie commerciale qui couvre un certain nombre de pièces et de révisions sur une période définie. Elle peut aller de quelques mois à plusieurs années, selon l'ancienneté du véhicule et les conditions de vente. Vous avez ainsi l'assurance qu'il a été contrôlé avec rigueur et qu'il est protégé contre d'éventuelles défaillances mécaniques ou électroniques.

Certains vendeurs fournissent par ailleurs des extensions pour prolonger la couverture et inclure davantage de prestations. Ils supportent les réparations sur le moteur, la boîte de vitesses et le système de freinage. Vous avez aussi la possibilité de bénéficier d'une assistance si vous avez un problème après l'achat de votre voiture d'occasion. En fonction du contrat souscrit, vous profitez d'un dépannage rapide, d'une automobile de remplacement ou d'une prise en charge des frais liés à une immobilisation. Cette aide est précieuse, notamment pour les automobilistes qui effectuent de longs trajets.

Obtenez un financement et des services complémentaires pour l'achat

Grâce à des partenariats avec des organismes de crédit, vous avez accès à des solutions adaptées à votre budget et à votre capacité de remboursement. Les concessionnaires mettent à votre disposition le crédit auto classique, la location avec option d'achat (LOA) ou la location longue durée (LLD). Chacune de ces solutions présente des avantages selon vos besoins et vos préférences. Le prêt vous permet d'étaler le paiement de votre véhicule sur plusieurs mois ou années.

La LOA et la LLD offrent en revanche plus de flexibilité, avec la possibilité de changer de voiture régulièrement sans engagement immédiat. Au-delà des facilités de paiement, les professionnels fournissent une gamme de prestations qui optimisent votre expérience. Parmi ces dernières, vous profitez d'un accompagnement pour la souscription d'une assurance auto adaptée à votre profil de conducteur et au véhicule.

Certains établissements intègrent même une garantie perte financière, qui protège votre investissement en cas de sinistre total. L'entretien et l'extension de garantie sont également proposés afin d'assurer la longévité de votre véhicule d'occasion. Vous bénéficiez de contrats de maintenance qui incluent des révisions régulières, des vidanges ainsi que le remplacement des pièces d'usure. Cette prise en charge complète vous évite des frais imprévus.

Profitez d'un service après-vente de qualité avec un concessionnaire

Les professionnels s'engagent à vous accompagner bien après la transaction. Vous profitez alors d'un suivi personnalisé et de prestations qui répondent à vos besoins pour garantir le bon fonctionnement de votre voiture sur la durée. Les concessionnaires ont des ateliers spécialisés et des techniciens formés aux dernières technologies qui assurent l'entretien et les réparations de votre voiture. Vous pouvez y réaliser les révisions périodiques, le changement des composants et des interventions complexes sur la mécanique ou l'électronique.

Grâce à leur expertise et à l'utilisation de pièces d'origine, ils fournissent un travail fiable et conforme aux normes du constructeur. En cas de panne ou d'incident, un service d'assistance rapide est fourni. Selon les conditions de votre garantie ou de votre contrat, vous bénéficiez d'un dépannage sur place ou du remorquage de votre automobile vers le garage le plus proche.

Certains spécialistes mettent également à disposition un véhicule de remplacement pour vous permettre de vous déplacer sans interruption. L'accompagnement ne se limite pas uniquement aux aspects techniques. Certains concessionnaires auto d'occasion proposent des solutions additionnelles, comme des rappels ou le suivi digitalisé de l'entretien. Avec ces outils modernes, vous recevez des notifications pour ne manquer aucune échéance et vous assurez ainsi la longévité de votre voiture.

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Notre guide pour acheter une voiture d'occasion au meilleur prix

Les voitures d'occasion sont un excellent investissement, car elles vous permettent d'économiser beaucoup d'argent par rapport à l'achat d'une voiture neuve. Elles permettent aussi de conserver un bon niveau de performance et d’offrir de grandes garanties en termes de sécurité et de fiabilité.

Les voitures d'occasion sont un excellent investissement, car elles vous permettent d'économiser beaucoup d'argent par rapport à l'achat d'une voiture neuve. Elles permettent aussi de conserver un bon niveau de performance et d’offrir de grandes garanties en termes de sécurité et de fiabilité.

Avant d'acheter une voiture d'occasion, il est toutefois bon de garder à l'esprit certaines règles qui peuvent s'avérer très utiles pour faire le bon choix et éviter les désagréments. Dans cet article, vous trouverez quelques conseils et astuces à prendre en compte afin d’acheter le véhicule d’occasion idéal.

Comparez les offres

La première étape de l'achat d'une voiture d'occasion consiste à sonder le marché de manière approfondie. Que ce soit avec les concessionnaires ou avec les annonces en ligne, vous vous trouvez face à des milliers de propositions. Il est donc conseillé d'analyser soigneusement ce que vous voulez acheter et le montant que vous êtes prêt à dépenser.

Il en sera de même lorsque vous chercherez à assurer votre véhicule. Vous devrez comparer les offres et les couvertures afin d’être certain d’avoir une bonne couverture. Nous vous recommandons par ailleurs particuliers.societegenerale.fr pour assurance auto en ligne ! Vous gagnez du temps à assurer votre véhicule en ligne, tout en profitant des meilleures offres.

Vous pourrez ensuite poursuivre votre recherche en gardant à l'esprit certains paramètres de base et en comparant les prix, les modèles et les millésimes. Le prix d'une voiture d'occasion peut varier en fonction de plusieurs facteurs, notamment :

  • Le kilométrage.

  • Le modèle.

  • L'année de mise en circulation.

  • Les révisions et les entretiens effectués.

  • L'état de la carrosserie et de l'intérieur.

  • L'état du moteur, des pneus, des pièces mécaniques.

  • Des options dont la voiture est équipée.

Une recherche en ligne est la première étape pour obtenir des informations actualisées sur le prix du marché du type de véhicule que vous recherchez.

Le meilleur moment pour acheter une voiture d'occasion

Une voiture neuve subit une dépréciation d'environ 30 % de sa valeur dès la première année suivant son achat. Les années suivantes, la perte de valeur est amortie de sorte que, jusqu'à la quatrième année, la voiture conserve entre 30 et 45 % de sa valeur initiale, selon la marque et le modèle.

C'est pourquoi un stratagème que certaines personnes adoptent consiste à acheter une voiture d'occasion âgée de deux ans environ, puis de la revendre lorsqu'elle a quatre ou cinq ans. Cela permet de préserver son investissement et de toujours disposer d'une voiture sûre, technologiquement avancée, presque neuve et conforme aux nouvelles normes d'émission.

En ce qui concerne le meilleur moment pour acheter une voiture d'occasion, c'est généralement la fin du mois. C'est à ce moment-là que les concessionnaires et les détaillants sont enclins à accorder des remises plus importantes afin d'atteindre leurs objectifs de vente. Il en va de même pour la fin de l'année, puisque tout le monde veut réduire les stocks, ce qui permet de faire de bonnes affaires.

Notez par ailleurs qu’il vous sera toujours plus facile de négocier avec un particulier qu’avec un professionnel. Cependant, n’oubliez pas qu’en faisant affaire avec un particulier, vous ne repartirez jamais avec un véhicule garanti.

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